T’es prêt(e) à être un meilleur athlète?

1. Qualité avant quantité [entraînement]

Faire plus n’est pas toujours synonyme de faire mieux. Quand j’ai commencé à m’entraîner (en salle, à ce moment), j’ai tout de suite pensé qu’en m’entraînant plus souvent, j’aurais des résultats plus rapidement. Je m’entraînais donc 5 jours par semaine (en plus d’avoir une hygiène de vie de collégien pas trop à ses affaires : peu de sommeil, nutrition à désirer…)

Quand tu commences quelque chose de nouveau, c’est important de laisser ton corps s’adapter et de se familiariser avec ce nouveau stress. C’est juste une fois qu’il se sera adapté que ton organisme fournirna une meilleure réponse à ces stimuli.

Si tu fais encore des progrès, pourquoi changer ce qui fonctionne pour l’instant? Si tu es toujours courbaturé(e) séance après séance, pourquoi rajouter un entraînement de plus?

👉Mon conseil : Commence toujours avec 3 journées d’entraînement par semaine. Ensuite, avant de rajouter une journée, pose-toi ces questions :
1. Est-ce que tu fais des progrès entraînement après entraînement et semaine après semaine ?
2. Comment te sens-tu durant les 24-48 heures suivant ton entraînement ?
3. Est-ce que les autres facteurs de ta vie sont constants et optimaux (nutrition, sommeil, stress, etc.) ?

📍Je m’entraîne maintenant 5 fois par semaine, mais j’ai commencé à 3 jours et j’ai graduellement, en écoutant mon corps, augmenté à 5.


S’entraîner à jeun [discipline]

Oui, je m’entraîne toujours à jeun. Depuis quelques mois, j’ai commencé à faire ce qu’on appelle du intermittent fasting (jeûne intermittent). Étant donné que je me lève très tôt le matin, j’aime bien faire mes entraînements peu de temps après mon réveil.

Quand je faisais de l’haltérophilie, j’avais l’habitude de prendre des gros déjeuners (ou petit-déj, si tu me lis de la France !) J’étais persuadé que pour avoir de l’énergie, je devais donner du carburant à mon corps. En réalité, il faut compter plusieurs heures pour que les aliments soient digérés et qu’il y ait absorption des nutriments par ton corps. Donc les premières fois que j’ai jeûné, c’était pas nécessairement facile et naturel. Mais éventuellement… La discipline paie et je ne reviendrais jamais en arrière !

👉Mon conseil : Fais ton prochain entraînement le matin, à jeun. Comme la callisthénie requiert le poids de notre corps, c’est le matin qu’on est le plus léger. Assure-toi toutefois que ton souper la veille était un bon repas et que tu as eu une bonne nuit de sommeil.

📍En ce qui me concerne, mon déjeuner se résume à de l’eau et un café bulletproof (avec du beurre de Ghee et de l’huile de coco).


S’entraîner dehors [motivation]

On va se le dire, la callisthénie, c’est 100 fois plus le fun dehors. Quand l’été arrive, j’ai l’impression de redevenir un enfant et j’ai juste envie d’accrocher mes anneaux sur tous les arbres que je vois. C’est quand même fréquent d’arrêter ou de moins s’entraîner en hiver, la motivation n’est pas là. Si tu fais partie de ces gens, profite de l’arrivée du printemps.

👉Mon conseil : À la prochaine journée de beau temps, prends tes anneaux de gymnastique et rends-toi accroche-les à un arbre dans un parc près de chez toi.

📍À Québec, mes préférés sont le parc Victoria (pour ses arbres) et le parc Mérici (pour son équipement). À Montréal, le parc Laurier est vraiment superbe pour faire de la callisthénie.


➡️ Toi, à quel endroit tu t’entraînes quand l’été arrive ? Partage-nous tes meilleurs spots dans le groupe de callisthénie !

    1 réponse à "Ce qui me permet d’être un meilleur athlète – Mai 2018"

    • Anonyme

      Bonjour comme il faisait beau dans les Pyrénées je me suis entraîner sur la montagne

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