Cette semaine, je mets de côté la callisthénie.
Bon, pas réellement, parce que ce dont je vais te parler en fait aussi partie : l’entraînement n’est pas que technique. Il y a une dimension beaucoup plus grande à celui-ci.
Je parle ici du mental.
De la discipline.
De la détermination.
Mais certainement pas de la chance.
On me dit souvent que je suis chanceux…
« … de vivre de ma passion » ;
« … d’avoir la discipline de m’entraîner à la maison » ;
« … de progresser en callisthénie » ;
et j’en passe.
Ce n’est pas de la chance.
À mon avis, toutes les positions dans lesquelles on se retrouvent dans nos vies sont l’aboutissement de plusieurs actions.
Ce n’est pas la chance qui nous mènent là où l’on est.
Oui, « la chance » n’est qu’un mot, mais le choix des mots est important. Notre perception de l’accomplissement en découle, selon moi.
La chance, c’est «le hasard», le «destin», appelle ça comme tu veux.
Ce que l’on fait à répétition, qui découle de nos actions conscientes, ce sont des choix et non de la chance. Et c’est comme ça qu’on crée notre vie. Notre bonheur ou notre malheur. Notre progression ou notre stagnation.
Comprends-moi bien : Je me sens béni de vivre de ma passion, d’avoir la discipline de m’entraîner à la maison et de progresser en callisthénie. Ne pense pas que je n’ai pas de gratitude, loin de là. Mais je n’attribue en rien ces situations à une quelconque forme de chance.
Je crois fermement que chacun a en lui-même le pouvoir de créer ce qu’il veut dans sa vie.
À mes yeux, décider de croire en la chance, c’est comme arrêter de croire en soi.
Ton coach
Simon 💪